jeudi 28 août 2014

Chaque Belge devrait manger une pomme et une poire par jour.

Je vous propose de manger une pomme et une poire belge par jour, afin de soutenir nos producteurs, en plus c'est bon pour la santé et comme ce sont des fruits de saison et locaux, ils coûtent moins cher. 
Faisons-le tous ensemble !
Une campagne wallonne de promotion sera prochainement lancée pour soutenir les producteurs de pommes et de poires, victimes de l'embargo russe sur les produits agroalimentaires européens. La réunion d'une task-force est convoquée vendredi, qui associe le gouvernement wallon, Comeos, fédération du commerce et des services en Belgique, l'Agence wallonne à l'exportation (Awex) et les représentants du secteur.

"La récolte a commencé lundi. Et nous nous demandons si nous devons cueillir, détruire ou stocker. Si nous serons indemnisés. J'accuse l'Europe d'avoir pris une décision non réfléchie avec des conséquences désastreuses pour toute l'agriculture. Il faut une aide autre que du simple saupoudrage. Aujourd'hui, l'agriculture fruitière est en voie de disparition", a constaté Serge Fallon, président de la Fédération Wallonne Horticole.
La Belgique, qui compte 8500 hectares de production de poires et 7800 hectares de pommes, exporte 70% de ses poires, dont la moitié vers la Russie. La production de poires cette année est 10% plus importante qu'en 2013, soit entre 350 000 et 400 000 tonnes.
La stratégie wallonne de soutien aux producteurs se développerait sur trois volets: le renforcement du marché intérieur belge, une action politique vis-à-vis de l'Union européenne et l'ouverture via l'Awex à de nouveaux marchés.
"Si chaque Belge mange une pomme et une poire par jour pendant un an, la production fruitière belge sera écoulée. Nous allons mettre en place les moyens nécessaires pour qu'il y a un appel à la consommation, en utilisant notamment la pastille Agriculture de Wallonie", a précisé René Collin.
La commission européenne "Agriculture et développement durable" devrait se prononcer dans les jours qui suivent sur un montant déterminé d'aide aux producteurs. Une indemnisation de 125 millions d'euros a déjà été annoncée, soit 2800 euros par hectare, alors que 7000 euros par hectare serait nécessaire, selon Serge Fallon.
"Il faut une force politique concrète. Les pays concernés doivent être les plus incisifs possibles pour négocier au mieux avec la Russie. Je pense que ce n'est ni au producteur, ni au citoyen wallon à payer une crise qui a été provoquée par une décision de type politique. Ce n'est pas non plus dans le budget de la Politique Agricole Commune qu'on doit aller chercher le budget nécessaire", souligne le ministre wallon de l'Agriculture.
Un conseil européens des ministres de l'Agriculture est également prévu le 5 septembre prochain.
Les frais de production de pommes et de poires représentent 0,20 euro/kg et la cueillette et la récolte demandent 0,30 euro/kg. Certains agriculteurs optent pour la non-récolte, craignant que l'indemnisation européenne ne compense pas la perte, vu les faibles prix de vente à la grande distribution.
"Nous privilégions la récolte, et les producteurs aussi. Mais il y a un choix à faire et je ne le critiquerai pas", a commenté René Collin.
Quelque 30% de la production devrait être détruite pour compenser le marché russe. La plupart des producteurs wallons ont inscrit une partie de leurs parcelles pour la destruction, selon la Fédération Wallonne Horticole.
"Nous avons toujours vécu dans la facilité face à ce marché russe et nous n'avons pas cherché à investir d'autres marchés. Un tel embargo, c'est ce qu'on craignait tous depuis longtemps", constate Serge Fallon.

Info & source: rtbf.be (agence Belga).




vendredi 22 août 2014

La viande, mauvaise pour la planète ?

Question Santé, Education permanente, Question de Société.

La viande, mauvaise pour la planète ?

Le secteur mondial de l’élevage croît plus vite que tout autre sous-secteur agricole. Cependant cette croissance (trop) rapide fait payer le prix plein à notre planète. 
Mais aujourd’hui, pourrions-nous faire machine arrière sur cette frénésie émanant de nos pays les plus développés ? L’enjeu est de taille, et pourtant nous devrions nous poser les bonnes questions sur la qualité et l’origine des aliments qui composent nos assiettes. Il est donc nécessaire de s’interroger sur notre consommation, de l’enjeu que celle ci à sur notre santé et de l’impact qu’elle a sur notre environnement. 
Les objectifs sont donc de prendre conscience de nos habitudes et de nos représentations alimentaires mais aussi de prendre en compte les facteurs économiques et éthiques qui se trouvent derrière le mot « viande ».

Sommaire : 
  • Viande : Etat des lieux
  • Un monde de plus en plus carnivore
  • Des chiffres éloquents ?
  • Une parenthèse nécessaire
  • Pas bon des tonnes de viande
  • Une pharmacopée animale étonnante
  • Des faits qui posent question
  • Mauvais diagnostic pour la santé
  • Un coût environnemental élevé
  • Une question essentielle pour terminer

La brochure et les questions qui y sont abordées s’adressent à tous les publics.

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La viande, mauvaise pour la planète ?



Question Santé: DOCTEUR, JE VEUX MOURIR DIMANCHE...

Question Santé
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 DOCTEUR, JE VEUX MOURIR DIMANCHE...
Regard sur une loi qui a (un peu) changé la mort

Une nouvelle brochure de l’asbl Question Santé
- Service Education permanente -


À la question « un décès par euthanasie est-elle une mort naturelle ? », il est probable que les réponses données différeraient selon les interlocuteurs interrogés. La loi relative à l’euthanasie a, elle, tranché puisque dans son texte elle autorise le médecin qui signe une déclaration de décès par euthanasie à choisir cette mention. L’adoption de la loi ne signifie cependant nullement que tous partagent ce point de vue légal. C’est encore ce que l’on a pu voir à l’occasion des discussions qui ont précédé l’extension de la loi aux mineurs en 2013. Sur les questions touchant à la fin de vie, où les convictions personnelles ont – encore trop souvent ? – tendance à prendre le dessus sur tout le reste, on en arrive à oublier le contexte dans lequel la loi a été élaborée, tout comme le principe du respect de l’autonomie de la personne sur lequel il repose. Mais peut-on réellement parler d’un oubli ? Un bilan des dix années écoulées montre en effet que la loi du 28 mai 2002 reste assez mal connue des citoyens et des médecins. Cette méconnaissance n’est pas étrangère aux difficultés qui peuvent naître quand les uns et les autres se retrouvent confrontés à des demandes d’euthanasie. 

Que dit et permet exactement la loi ?

Pouvons-nous parler de l’euthanasie – et des autres fins de vie médicalisées  – sans nous braquer sur nos positions respectives ?

Comment mieux aider tous ceux qui sont confrontés
à des situations de fin de vie difficiles ?


Pour en parler, le nouvel outil pédagogique produit par le service Education permanente de l’asbl Question Santépropose comme balises :

  • Des « morts naturels » pas tout à fait comme les autres…

  • Comment la loi a fait son chemin…

  • Que dit le texte de la loi ?

  • La voix des enfants

  • Comment éviter les dérapages ?

  • Les différentes pistes du départ

  • Médecin/patient : et le silence fût…

  • Papa veut, mais Maman pas…

  • Des chiffres et des hommes (ou des femmes)

  • Les visages de la dignité

  • L’euthanasie, mais pas seulement…

 

Pour prendre connaissance de ce nouvel outil pédagogique qui se présente sous forme de brochure, vous pouvez consulter le site : www.questionsante.be


D’autres outils touchant aux questions liées à la fin de vie sont disponibles et téléchargeables sur le même  site :

  • Suicide : une histoire de vie ? ©2011 – Collection « Représentations »

  • Acharnement thérapeutique – Quand se pose la question du juste soin… ©2011 – Collection « Ethique »

  • L’allongement de la durée de vie en questions ©2008 – Collection « Ethique » 

Cet outil est disponible gratuitement auprès de l'asbl Question Santé et peut y être commandé suivant différentes modalités :
Rue du Viaduc 72 – 1050 Bruxelles – Belgique

+32 (0)2 512 41 74 – F +32 (0)2 512 54 36
education.permanente@questionsante.be


Cette brochure a été réalisée avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles

lundi 18 août 2014

LES CENTRES DE FITNESS : DES PRATIQUES COMMERCIALES PAS TOUJOURS SAINES.

Presque tous en infraction.


Quelques exemples pratiques montrent malheureusement que la plupart des centres de fitness ne respectent pas la loi. Ainsi, Velocity propose des abonnements d’une durée minimale de 12 mois. À l’issue de cette période, le paiement mensuel par domiciliation est automatiquement prolongé. Certes, la clause figure bien en première page du contrat, mais pas en caractères gras. Health City a camouflé la même clause quelque part dans le contrat et, à moins d’avoir lu attentivement les conditions générales avant de signer le contrat, le client ignore tout du prolongement et de la manière de l’empêcher. Stadium prévoit aussi une reconduction tacite, mais ne respecte pas la loi : la clause ne figure ni en caractères gras ni dans un encadré. Bien que Basic-Fit prolonge l’abonnement pour une durée identique, il signale que le contrat peut être résilié à tout moment par lettre recommandée, moyennant un préavis d’un mois. Cette clause figure toutefois dans le corps du contrat, et non dans un cadre distinct comme cela devrait être le cas. Silhouette donne à ses clients un délai de 30 jours avant l’expiration du contrat pour résilier l’abonnement; passé ce délai, il est automatiquement prolongé pour la même période, mais le club reste muet sur le délai de préavis obligatoire de deux mois. En outre, la clause n’est ni en caractères gras ni dans un encadré. En revanche, nous n’avons rien à reprocher à cet égard à American Gym, Oxygen et Lifestyle Fitness.
À une exception près , tous les centres de fitness acceptent d’annuler l’abonnement, ou de le suspendre temporairement, pour autant que la force majeure soit prouvée, par exemple par un certificat médical ou une inscription dans le registre de population d’une autre commune. Mais la notion de “force majeure” est parfois interprétée de diverses manières… Chez Basic-Fit et Health City, par exemple, vous devez déménager à plus de 15 km du centre Basic-Fit ou Health City le plus proche pour obtenir la résiliation prématurée de votre contrat. Il est improbable qu’une personne puisse rompre effectivement son contrat pour cause de déménagement, étant donné que Health City possède une soixantaine de clubs en Belgique et qu’il y a donc de fortes chances qu’il y en ait un dans un rayon de 15 km autour du nouveau domicile… On peut lire dans les conditions générales de Velocity que la force majeure vaut en cas de décès, d’incapacité médicale ou de déménagement à plus de 30 km. Le club permet par contre de geler temporairement l’abonnement pendant les vacances, moyennant le paiement de 7 € de frais administratifs, ce qui nous semble raisonnable. Pour résilier un abonnement chez Stadium, vous devez déménager à l’étranger pour raisons professionnelles.
Mais qu’en est-il des personnes qui doivent déménager à l’autre bout du pays pour le même motif ? En cas de force majeure médicale, l’abonnement à durée indéterminée peut être suspendu provisoirement, tandis que l’abonnement à durée déterminée est prolongé d’une période égale à l’incapacité. Le client qui doit arrêter définitivement le sport ne peut donc pas résilier son abonnement sans frais, ce qui est selon nous contraire à la loi. Mais c’est à nouveau Silhouette qui décroche le pompon.
Aucun cas de force majeure ne lui semble suffisant pour rompre un contrat ou rembourser des mensualités, pas même le décès du client, ce qui est à coup sûr abusif et donc illégal ! La plupart des clubs s’accordent du reste une marge d’un mois après la réception de la lettre de résiliation et des attestations, et certains facturent des frais administratifs (par ex., 15 € chez Basic-Fit et Health City). La résiliation pour force majeure n’est pas rétroactive : vous ne pouvez réclamer le remboursement des paiements déjà effectués.
Info & source: http://www.dhnet.be/archive/presque-tous-en-infraction-51b7e14de4b0de6db992cbfe

jeudi 14 août 2014

Kermesse de l'Assomption à Blaregnies.

KERMESSE DE L'ASSOMPTION À BLAREGNIES.

A Blaregnies, c’est la ducasse ! Avec le souper campagnard, les festivités, avec notamment samedi la 45ème course cycliste humoristique. Nombreux sont ceux qui y déraillent, mais puisque Saint-Guidon les protège….

Programme complet ci-dessous.


dimanche 10 août 2014

Grand Week-End du 15 Août à Givry.

La Société Carnavalesque "Les Paysans de Givry" organise



Semi Vert Amay du 14 septembre - Challenge Delhalle et Cours La Province.

Semi Vert Amay du 14 septembre - Challenge Delhalle et Cours La Province.

Semi Vert d’Amay qui se déroulera le dimanche 14 septembre à 10h00.  Le Semi-Vert (21,1 km) est repris dans les challenges Delhalle et Cours la Province. Les deux autres distances (5,4 et 11,4 km) sont reprises dans le challenge Cours la Province. Infos :www.semivert.com


5,4 km : Parcours plat et spécialement adapté pour les coureurs débutants avec pour le retour le passage sur le site de la Gravière. 3 ravitaillements sur le parcours

Le 11,4 km : 50% de chemins et sentiers. Ce parcours vous permettra de découvrir une petite partie des bois d’Ombret (et sa côte des Dames) que vous ne pourrez parcourir qu’à cette occasion car il s’agit d’un bois privé. A cet endroit, vous serez accueilli avec les trompettes et cors de chasse. Le retour se fera aussi par le site de la Gravière. 4 ravitaillements sur le parcours.

Le semi- vert (21,1 km) : 80% de sentiers et chemins avec la célèbre côte du Facteur et bien entendu sa  nouvelle côte des Dames. Ancienne course organisée par le club d’athlétisme d’Amay et faisant autrefois partie du Challenge Delhalle, le Semi-vert d'Amay ne va pas vous décevoir.
Parcours champêtre par excellence. Vous emprunterez de nombreux chemins et sentiers dans les superbes bois d'Ombret. Les amoureux de jogging "nature" seront ravis. Vous aurez aussi l'occasion de découvrir, entre autres, la Collégiale Sainte-Ode, le vallon du Fond d'Oxhe, les vallonnements légers du Condroz ardennais, le versant raide de la rive droite de la Meuse et pour le retour,  la Zone Humide d'Intérêt Biologique avant de terminer votre circuit dans le centre de la Commune, sur la Grand-Place d'Amay. 7 ravitaillements sur le parcours.

T-shirt offert aux 100 premiers préinscrits  en ordre de paiement.
Les préinscriptions sont possibles pour toutes les distances.
Inscription dès 8h30 Grand Place.
Départ de la Grand-Place à 10h00.
Parking, vestiaire, douche, remise des prix et tombola avec lots de valeur.
Renseignements : Freddy Loncar au 0487/53.87.84 après 19h00 ou Didier Marchandise 085/31.05.45.

Plus de 500 places de parking dans un rayon de moins de 300 mètres du départ
Voici les liens pour :

La page d’accueil : http://www.semivert.com/
Renseignements généraux, parcours, et préinscriptions : http://www.semivert.com/#!informations/ca4e
Page Facebook pour les dernières infos :: https://www.facebook.com/groups/456704611094452/


Les bénéfices de cette organisation sont destinés aux Comités scolaires des écoles de la commune (communales et libres).

Merci de transmettre ce mail à vos connaissances qui pourraient être intéressées par cette organisation.

News :           Une garderie sera ouverte de 8h45 à 13h00 pour les enfants à partir de 2ans1/2. Pour la bonne organisation de celle-ci, il est demandé de vous inscrire par retour de mail.

Sportivement vôtre
Meilleures salutations 
Freddy LONCAR
Didier MARCHANDISE 

Le pétrole russe coule à flots

  Le pétrole russe coule à flots. Aberration et hypocrisie. La Russie est sous sanctions. On ne compte plus les vagues. Et pourtant, le pétr...