lundi 30 octobre 2017

mardi 17 octobre 2017

Journée Mondiale du refus de la misère.

Journée Mondiale du refus de la misère.


Le 17 octobre 1987, à l'appel du Père Joseph Wresinski, 100 000 défenseurs des Droits de l'Homme se sont rassemblés sur le Parvis du Trocadéro, à Paris, pour rendre honneur aux victimes de la faim, de la violence et de l'ignorance, pour dire leur refus de la misère et appeler l'humanité à s'unir pour faire respecter les Droits de l'Homme. Une dalle, proclamant ce message, a été inaugurée à cette occasion sur le Parvis des Libertés et des Droits de l'Homme, là où fut signée, en 1948, la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme. On peut y lire l'appel du père Joseph:

"Là où des hommes sont condamnés à vivre dans la misère, les droits de l'homme sont violés. S'unir pour les faire respecter est un devoir sacré."

Depuis cette date, le 17 octobre de chaque année, les plus pauvres et tous ceux qui refusent la misère et l'exclusion se rassemblent dans le monde entier afin de témoigner de leur solidarité et de leur engagement pour que la dignité et la liberté de tous soient respectées : ainsi est née la Journée Mondiale du Refus de la Misère.

Le 17 octobre 1992, Monsieur Javier Pérez de Cuellar, ancien Secrétaire général de l'ONU, au nom d'un groupe de personnalités internationales rassemblées dans le Comité pour la Journée Mondiale du Refus de la Misère, lance un appel pour la reconnaissance du 17 octobre. Le 22 décembre 1992, le 17 octobre est proclamé Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté par l'assemblée générale des Nations Unies. Depuis, les initiatives pour célébrer cette journée n'ont cessé de se multiplier. Dans de nombreux lieux, des rassemblements se tiennent également le 17 de chaque mois.

Info & Source: http://www.journee-mondiale.com/


mardi 19 septembre 2017

Vous cherchez un emploi ?


Nouveau à l'Administration Communale de Quévy.


Je cours pour ma forme sur Quévy.


Vous êtes peu ou pas sportif ?
Vous souhaitez améliorer votre forme ?

Ce programme est fait pour vous !
«Je cours pour ma forme» sur Quévy est organisé sur un trimestre au rythme de séances hebdomadaires. Les entraînements seront dispensés par Anne Sophie Cardinal de Genly sur la base d’un programme correspondant au palier 2, c’est-à-dire 0 à 5 km. À la fin du trimestre, vous serez à même de parcourir les 5 km du programme et vous recevrez votre diplôme.
Les séances débuteront le mardi 3 octobre à 18 h (1ère séance), le rassemblement se fera sur la place de Genly. 
Présentez-vous simplement en tenue de sport avec des chaussures de course à pied.
La participation aux frais est de 30€ pour les 12 séances incluant l’assurance. Veuillez svp payer avant la 1ère séance, sur le n° de compte BE93 0910 0040 1567 avec la communication suivante : JCPMF + «Votre nom, prénom, adresse complète, mail et GSM».

Inscription à l'adresse: laurent.bougard@ac-quevy.be ou auprès de l'Administration Communale de Quévy au 065/58.64.40
Possibilité d’un remboursement par votre Mutuelle.
Pour en savoir plus sur le programme «Je cours pour ma forme», consultez également le site www.jecourspourmaforme.be.
Pour le Collège :
Laurent Bougard Échevin des Sports

mercredi 6 septembre 2017

Journées du Patrimoine à Quévy.


Dans le cadre des Journées du Patrimoine des 9 et 10 septembre, le Cercle des Dix Clochers organise des activités sur le thème :
Autour des chaussées romaines de Quévy, d'hier à aujourd'hui.
Les chaussées romaines sillonnaient autrefois nos régions. Aujourd'hui, que ce soit dans les paysages, les noms de nos rues, de nos villages, de nos lieux-dits, dans les découvertes fortuites ou non, nous en retrouvons encore de nombreuses traces.
Au travers d'une exposition (visites guidées prévues) et d'une conférence (samedi et dimanche), le Cercle invite le visiteur à découvrir, avec un nouveau regard, l'entité de Quévy et les richesses archéologiques de son sous-sol.
Ouverte de 10h à 18h. Visite guidée & Animations.
En la Salle le "Prestige du Clothaire", 1er étage, 55, rue de la Chaussée - 7040 Gœgnies-Chaussée :
Conférence :
Autour des chaussées romaines de Quévy par G. LEFEBVRE.
Renseignements : 0475/778182 ; marlier.pierre@outlook.be.

mardi 7 mars 2017

JOURNÉE MONDIAL DE LA FEMME.





La Journée internationale de la femme est célébrée le 8 mars de chaque année par des groupes de femmes dans le monde entier. Elle est également célébrée à l’ONU et, dans de nombreux pays, c’est un jour de fête nationale. Lorsque les femmes de tous les continents, souvent divisées par les frontières nationales et par des différences ethniques, linguistiques, culturelles, économiques et politiques, se réunissent pour célébrer leur Journée, elles peuvent voir, si elles jettent un regard en arrière, qu’il s’agit d’une tradition représentant au moins 90 ans de lutte pour l’égalité, la justice, la paix et le développement.

Des femmes qui ont fait l'histoire

La Journée internationale de la femme est l’histoire de femmes ordinaires qui ont fait l’histoire. Elle puise ses racines dans la lutte menée par les femmes depuis des siècles pour participer à la société sur un pied d’égalité avec les hommes. Dans l’antiquité grecque, Lysistrata avait lancé une "grève sexuelle" contre les hommes pour mettre fin à la guerre. Pendant la Révolution française, des Parisiennes demandant "liberté, égalité, fraternité" ont marché sur Versailles pour exiger le droit de vote des femmes.
L’idée d’une Journée internationale de la femme s’est fait jour au tournant des XIXe et XXe siècles, période caractérisée dans le monde industrialisé par l’expansion et l’effervescence, une croissance démographique explosive et l'émergence des idéologies radicales.

Repères chronologiques

1909 - Conformément à une déclaration du Parti Socialiste américain, la première Journée nationale de la femme a été célébrée sur l’ensemble du territoire des États-Unis, le 28 février. Les femmes ont continué à célébrer cette journée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913.
1910 - L’Internationale socialiste réunie à Copenhague a instauré une Journée de la femme, de caractère international, pour rendre hommage au mouvement en faveur des droits des femmes et pour aider à obtenir le suffrage universel des femmes. La proposition a été approuvée à l’unanimité par la conférence qui comprenait plus de 100 femmes venant de 17 pays, dont les trois premières femmes élues au Parlement finlandais. Aucune date précise n’a été fixée pour cette célébration.
1911 - À la suite de la décision prise à Copenhague l’année précédente, la Journée internationale de la femme a été célébrée pour la première fois, le 19 mars, en Allemagne, en Autriche, au Danemark et en Suisse, où plus d’un million de femmes et d’hommes ont assisté à des rassemblements. Outre le droit de voter et d’exercer une fonction publique, elles exigeaient le droit au travail, à la formation professionnelle, et la cessation de la discrimination sur le lieu de travail.
Moins d’une semaine après, le 25 mars, le tragique incendie de l’atelier Triangle à New York a coûté la vie à plus de 140 ouvrières, pour la plupart des immigrantes italiennes et juives. Cet événement a eu une forte influence sur la législation du travail aux États-Unis, et l’on a évoqué les conditions de travail qui avaient amené cette catastrophe au cours des célébrations subséquentes de la Journée internationale de la femme.
1913-1914 - Dans le cadre du mouvement pacifiste qui fermentait à la veille de la Première Guerre mondiale, les femmes russes ont célébré leur première Journée internationale de la femme le dernier dimanche de février 1913. Dans les autres pays d’Europe, le 8 mars ou à un ou deux jours de cette date, les femmes ont tenu des rassemblements soit pour protester contre la guerre, soit pour exprimer leur solidarité avec leurs soeurs.
1917 - Deux millions de soldats russes ayant été tués pendant la guerre, les femmes russes ont de nouveau choisi le dernier dimanche de février pour faire la grève pour obtenir " du pain et la paix ". Les dirigeants politiques se sont élevés contre la date choisie pour cette grève, mais les femmes ont passé outre. Le reste se trouve dans les livres d’histoire : quatre jours plus tard, le tsar a été obligé d’abdiquer et le gouvernement provisoire a accordé le droit de vote aux femmes. Ce dimanche historique tombait le 23 février dans le calendrier julien qui était alors en usage en Russie, mais le 8 mars dans le calendrier géorgien utilisé ailleurs.
Depuis ces années, la Journée internationale de la femme a pris une nouvelle dimension mondiale dans les pays développés comme dans les pays en développement. Le mouvement féministe en plein essor, qui avait été renforcé par quatre conférences mondiales sur les femmes organisées sous l’égide de l’ONU, a aidé à faire de la célébration de cette Journée le point de ralliement des efforts coordonnés déployés pour exiger la réalisation des droits des femmes et leur participation au processus politique et économique. De plus en plus, la Journée internationale de la femme est le moment idéal pour réfléchir sur les progrès réalisés, demander des changements et célébrer les actes de courage et de détermination de femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire des droits des femmes.

Le rôle des Nations Unies

Rares sont les causes dont l’ONU assure la promotion qui ait suscité un appui plus intense et plus vaste que la campagne menée pour promouvoir et protéger l’égalité des droits des femmes. La Charte des Nations Unies, signée à San Francisco en 1945, était le premier instrument international à proclamer l’égalité des sexes en tant que droit fondamental de la personne humaine. Depuis, l’Organisation a aidé à créer un patrimoine historique de stratégies, normes, programmes et objectifs convenus au plan international pour améliorer la condition de la femme dans le monde entier.
Au fil des ans, l’action menée par l’ONU en faveur de la promotion de la femme a pris quatre orientations précises : promotion de mesures juridiques; mobilisation de l’opinion publique et de l’action internationale; formation et recherche, y compris compilation de statistiques ventilées par sexe; et assistance directe aux groupes désavantagés. Aujourd’hui, l’un des principes d’organisation centraux des travaux de l’ONU est qu’aucune solution durable aux problèmes sociaux, économiques et politiques les plus pressants de la société ne peut être trouvée sans la pleine participation, et la pleine autonomisation, des femmes du monde entier.

dimanche 5 février 2017

Maltraitance animale : les bons réflexes.

Maltraitance animale : les bons réflexes.

546 animaux saisis en plus de 2 ans 

Les chiens arrivent en tête du classement 


En un peu plus de deux ans, 3.914 plaintes pour maltraitance ou négligence animale ont été déposées auprès de l’administration wallonne. 546 animaux ont dû être saisis, dont la grande majorité était des chiens et des chats.  
Depuis le 1 er juillet 2014, la Wallonie est compétente en matière de Bien-être animal, jusqu’alors géré par le Service public Fédéral Santé. Quelques mois plus tard, le 1 er octobre 2014, le Ministre wallon du bien-être animal Carlo Di Antonio (cdH) décide d’agir via la mise en ligne d’un formulaire de dépôt de plainte permettant d’alerter les autorités compétentes en cas de négligence ou de maltraitance d’animaux. La dénonciation, qui peut être anonyme, est ensuite analysée par la Cellule du bien-être animal.
439 procès-verbaux
Depuis, soit en un peu plus de deux ans, quelque 3.914 plaintes ont été déposées via ce formulaire. Elles ont conduit à l’ouverture de 2.600 dossiers par l’Unité du bien-être animal (UBEA). À ce jour, 578 avertissements et 439 procès-verbaux ont été établis, dont 367 d’entre eux ont été transmis au parquet. 518 plaintes sont toujours en cours de traitement.
Les peines encourues par ces propriétaires d’animaux négligés ou maltraités sont très importantes. Les peines d’emprisonnement peuvent s’étendre de 8 jours à 3 ans et/ou les amendes de 100 euros à 1.000.000 euros, si le parquet se saisit du dossier. Dans le cas inverse, l’amende administrative peut atteindre les 1.000 euros.
Selon Carlo Di Antonio, le nombre de plaintes démontre toute la pertinence et l’efficience du formulaire de dépôt, un outil facilement accessible et permettant de lutter efficacement contre la maltraitance et la négligence animale.
Le Ministre wallon précise également que les 1.314 plaintes ont été considérées comme irrecevables car elles n’étaient pas du ressort de l’Unité du bien-être animal ou elles étaient complétées avec des mentions erronées.
16 agents
Quotidiennement confrontés à des situations de détresse animale provoquées par des propriétaires négligents ou malveillants, des inspecteurs vétérinaires exercent des contrôles sur le terrain. Il s’agit d’une cellule wallonne administrative appelée « Unité du bien-être animal ». Elle est composée de 16 agents : un coordinateur-vétérinaire, six vétérinaires, cinq contrôleurs, un juriste et trois agents administratifs.
Depuis le 1 er octobre et le lancement du formulaire, cette unité a effectué 71 saisies d’animaux qui ont concerné quelque 546 bêtes. En tête du classement se trouvent les chiens, les chats et les volailles.
La plupart des animaux saisis ont été placés dans des refuges. Seuls quelques-uns, principalement des bovins, ont dû être euthanasiés sur place.
Infos & source: LA PROVINCE.BE / http://www.wallonie.be/fr/bienetreanimal


Le pétrole russe coule à flots

  Le pétrole russe coule à flots. Aberration et hypocrisie. La Russie est sous sanctions. On ne compte plus les vagues. Et pourtant, le pétr...