mardi 20 août 2013

Quévy fait peau neuve

KEVIN CENTORAME Publié le - Mis à jour le 
MONS-CENTRE Malgré la démission de Hubert Ewbank, le club promotionnaire veut continuer à grandir.
Aujourd’hui, seuls les clubs de football possédant un mécène à leur tête ont encore de l’avenir. Ce n’est pas à Monaco ou à Paris qu’on dira le contraire. 
Toutes proportions gardées, Hubert Ewbank était à Quévy ce que les Russes ou les cheiks qataris sont aux grands clubs européens : le principal donateur. 
C’est dire si, suite à sa récente démission, les bruits les plus inquiétants ont couru parmi les sympathisants des Sucriers . Alors que Quévy jouera son premier match de championnat ce samedi, une nouvelle équipe dirigeante a été dévoilée. Elle s’articulera autour de Benoît Garnier, connu dans l’horeca montois pour être, avec ses associés, à la tête de plusieurs tavernes et de la bière La Montoise. 
C’est la personne relais qu’Hubert Ewbank, à qui a été confié un rôle symbolique de président d’honneur, avait choisie pour assurer sa succession. “Pour beaucoup, le départ de Hubert était synonyme de mort pour le club. Or, cet événement n’a fait que nous conforter dans l’idée qu’il fallait nous structurer plus encore”, explique Benoît Garnier, qui assume désormais un rôle de directeur général. “Avant même de songer à prendre du recul, Hubert désirait mettre en place une structure plus solide. Les derniers événements n’ont fait qu’accélérer le processus.” 
Comme tous les clubs sportifs qui se respectent, l’organigramme a été subdivisé en cellules. À côté des pôles traditionnels, le comité quévysien tient à développer un axe événementiel. Il sera inauguré les 6, 7 et 8 septembre lors d’un Fan Day ayant pour but de mettre en valeur les 18 équipes de jeunes et moins jeunes que compte Quévy. En parallèle, sera organisée au stade de la Motte de Genly une fête de la bière, expérience d’un genre nouveau pour un club de football. “Le but de cette cellule sera de mettre sur pied des événements durant toute l’année.”
Et le vice-président, Pascal Mainil, de souligner le caractère jeune et local de ses acolytes : “Derrière la démission de M. Ewbank, une continuité est respectée. Il y a, aussi, une grande zenvie d’aller de l’avant et d’entourer au mieux une école des jeunes riche de 250 enfants. Quévy doit évoluer pour devenir un club phare dans la région”. 
Source: ladh.be

lundi 19 août 2013

Aide à la gestion des ASBL.

Aide à la gestion des ASBL        

Offre de formation.

Bien souvent, l’action politique et bénévole passe par diverses formes de mobilisation au sein d’Associations Sans But Lucratif (ASBL). Pour le PS, la vie associative est fondamentale pour la cohésion sociale et il s’agit de la soutenir par tous les moyens.

Il ne faut pas sous-estimer la charge de travail que cela représente pour les citoyens qui s’engagent au quotidien dans des ASBL. Ni les contraintes légales à assimiler pour la bonne gestion de l’association. Tous les jours, des ASBL rencontrent des difficultés pratiques dans leur gestion comme par exemple :
Ø  Comment mettre nos statuts en règle ?
Ø  Les administrateurs sont-ils redevables des dettes de l’ASBL ?
Ø  Peut-on "défrayer" les bénévoles ? Si oui, comment ?
Ø  Que fait-on si on veut changer d’objet social ?
Ø  Comment gérer notre argent ?
Ø  Comment changer de siège ?
Ø  Que faire si on est en défaut de déposer les comptes ?

C’est pourquoi, le Parti nous offre la possibilité d’organiser une matinée de permanence à destination des ASBL dans le but de les aider à solutionner tous ces problèmes pratiques.

Ces permanences, sous la forme d’entretiens personnalisés, gratuits et sur rendez-vous, seront tenues par l’ASBL Infor@ssociations, structure d’aide et de conseil pour les ASBL et partenaire de l’IEV pour ce projet.

Concrètement, pour notre fédération, la permanence aura lieu le vendredi 8 novembre de 9h à 13h, à la Fédération de Mons-Borinage rue de Dinant, 25 7000 Mons

Pour participer à cette matinée, il est indispensable que les ASBL s’inscrivent auprès d’Infor@ssociations (par mail à inforassociations@gmail.com ou par téléphone au 0495.807.383) !

Nous t’invitons à relayer largement cette information auprès de toutes les structures associatives de ta connaissance. C’est en effet l’occasion pour tous ceux qui s’engagent à l’échelle de leur quartier, de leur ville, de leur région, de leur pays, à l’international ou pour un secteur d’activité particulier de surmonter les difficultés pratiques qu’ils rencontrent et de donner toutes les chances à leur projet.

Pour toute information, n’hésite pas à contacter la fédération au 065/35.36.45

Barbara Crombez,
Secrétaire fédérale.
0497/54.32.29

mardi 13 août 2013

Fuite dans un réacteur nucléaire.

Fuite dans un réacteur nucléaire à Mol.

Une fuite s’est déclarée mardi soir dans le réacteur d’essai Belgian Reactor 2 à Mol. Selon les autorités communales, la fuite n’a libéré aucune radioactivité et a été colmatée.

Mardi soir, le personnel du CEN a décelé une fuite dans le circuit secondaire du réacteur BR2, mis en service en 1963 et notamment utilisé à des fins de recherche.
La fuite s’est déclarée dans les canalisations d’eau de refroidissement, qui s’est écoulée sur la route privée du centre d’étude. Par mesure de précaution, la police a fermé la route et l’entraînement d’un club de hockey situé à proximité a été annulé.
Selon les tests réalisés par le CEN, l’eau de refroidissement écoulée n’était pas radioactive. Le centre d’étude souligne également qu’il n y a « aucun danger pour les riverains et pour l’environnement. »
« La fuite a depuis été colmatée, selon nos informations », a indiqué la bourgmestre faisant fonction Kathleen Deckx. « Des tests sont toujours en cours et la police reste sur place. » La cause de la fuite n’a cependant pas été précisée.
Des recherches internationales sont menées avec le BR2, qui dispose d’une capacité de 125 MW, pour tester les matériaux nucléaires. Le réacteur fonctionne à l’uranium hautement enrichi avec de l’eau sous pression, qui sert également de modérateur. Le réacteur joue également un rôle important dans la production de radio-isotopes pour la médecine nucléaire.

Parc Naturel des Hauts-Pays.

Parc Naturel des Hauts-Pays: La directrice démissionne.

La directrice du parc naturel des Hauts-Pays a donné sa démission. Après 8 ans de gestion de ce parc, elle a préféré choisir d’autres horizons de carrière car la structure manque de visibilité et de perspective de développement. Entretien.
C.S.
Frédérique Yernaux a décidé de démissionner car le parc n’offre plus de possibilités de développement
Tout d’abord, pouvez-vous expliquer à nos lecteurs comment vous êtes arrivée à ce poste ?
J’ai fait un bachelier en gestion et tourisme. Pendant mes études, j’ai fait mon stage au PNHP car je suis de la région. Après avoir travaillé au sein de la raffinerie de Mons, j’ai appris que l’ancienne directrice du parc avait démissionné. J’ai posé ma candidature et j’ai eu le poste. Je n’avais que 22 ans à l’époque.
Vous avez donc eu un gros challenge à relever vu votre jeune âge.
Nous étions dans les prémices du parc. On a poussé pour avoir accès à des subsides et se développer. Nous sommes passés de 3 à 6 personnes. J’ai eu la chance de trouver une équipe super dynamique qui a fait beaucoup avec peu de moyen.
Pourquoi avoir décidé de démissionner maintenant que le parc s’est vraiment beaucoup développé ?
Ça n’évolue plus beaucoup ici et pour l’avenir, on s’attend à avoir encore moins de subsides. En plus, en septembre, la commission de gestion va être renouvelée et on prévoira les projets sur 10 ans. Je ne voulais pas me lancer là-dedans alors que je ne me voyais plus rester ici à long terme. C’était la fin d’un cycle et pour moi, le bon moment pour rendre ma démission. Au moins, mon/ ma remplaçant(e) pourra s’imprégner de tout ça.
Quel sera le plus grand défi pour votre remplaçant ?
Le problème, c’est que le parc manque cruellement de visibilité. On est loin de tout et on a parfois l’impression de mettre l’énergie, pas dans rien, mais dans un parc peu connu. Pourtant, nous sommes coincés entre deux zones urbanisées, Mons-Borinage et Valenciennes-Maubeuge. Peu de gens connaissent la région des Hauts-Pays et ce n’est pas toujours évident. Si l’on axe plus sur la campagne de communication, on a moins d’argent pour les actions.
Info & source: La Province.be

Le pétrole russe coule à flots

  Le pétrole russe coule à flots. Aberration et hypocrisie. La Russie est sous sanctions. On ne compte plus les vagues. Et pourtant, le pétr...