Publicites trompeuses sur le credit a la consommation ne vous laissez pas berner

Publicites trompeuses sur le credit a la consommation ne vous laissez pas berner

Le Sommeil.

Sommeil placebo : croire qu'on a bien dormi accroît les performances cognitives.

Une étude réalisée par deux chercheuses du Colorado College révèle que le fait de penser que l’on a mal dormi peut diminuer nos performances cognitives durant la journée, rapporte Slate.fr.

« Et si le fait de savoir que l’on n’a pas assez dormi nous empêchait, en partie, de sortir de notre léthargie durant la journée ? », questionne The Atlantic. Peut-être que si nous ignorions la mauvaise qualité de notre sommeil, nous travaillerions plus efficacement. C’est en tout cas ce qu’affirment les chercheuses Christina Draganich et Kristi Erdal, suite à leur étude sur le « sommeil placebo ».

Il ne s’agit pas ici de la quantité de sommeil, mais plutôt de la qualité de celui-ci. Lors de leur expérience sur 164 personnes, les chercheuses ont fait croire aux participants que de nouvelles techniques permettaient de mesurer la qualité du sommeil et que celle-ci dépend de la durée du sommeil profond. Ce qui est un mensonge. Elles ont également affirmé que la durée du sommeil profond avait une influence directe sur les performances cognitives. Peu importe donc le nombre d’heures de sommeil.

Après une nuit de sommeil, les chercheuses ont indiqué à une partie du groupe qu’il avait eu une quantité de sommeil profond suffisante et aux autres qu’ils n’avaient pas eus un sommeil de qualité. Après les avoir soumis à des tests de mémoires et d’attention, il s’est avéré que le premier groupe avait été plus performant que ceux qui pensaient avoir mal dormi, même ceux qui avaient affirmé avoir bien dormi.

Cette étude montre donc que si vous pensez que vous êtes bien reposé, votre cerveau fonctionnera mieux, indépendamment de la qualité réelle de votre sommeil. Inversement, parler constamment de votre fatigue, comme cela arrive si souvent, pourrait être préjudiciable à votre performance, conclut The Atlantic. 

Info & Source: www.levif.be (Marie Gathon)

Le Conseil d'Etat recale l'implantation de six éoliennes dans le village d'Esplechin.

Le Conseil d'Etat recale l'implantation de six éoliennes dans le village d'Esplechin.

Octroyé le 23 avril 2012 par le ministre wallon de l'Environnement Philippe Henry (Ecolo), le permis autorisant l'implantation de six éoliennes dans le village d'Esplechin a été recalé par le Conseil d'Etat, rapporte lundi le Courrier de l'Escaut.

Le ministre Philippe Henry dispose d'un délai de trois mois pour reformuler un nouveau permis en fonction des remarques émises par le Conseil d'Etat. La ville de Tournai avait refusé de s'engager dans ce projet tant qu'il n'existait pas de cadre éolien et avait porté le dossier devant le Conseil d'Etat. Interrogé par l'agence Belga, le bourgmestre ff de Tournai, Paul-Olivier Delannois (PS), précise que le nouveau collège n'a pas changé de position.

En 2009, la société SA Windvision avait lancé ce projet en bord de frontière mais l'enquête publique lancée sur les communes de Tournai, Rumes et Brunehaut, avait suscité de nombreuses remarques liées notamment aux nuisances sonores. Et c'est justement ces nuisances qui ont motivé la décision du Conseil d'Etat d'annuler le permis.

Du côté français, ce projet avait aussi suscité un tollé car ce parc éolien se situerait à proximité du site historique de la bataille de Bouvines dont le 800e anniversaire sera fêté cette année. En 2011, le fonctionnaire délégué de la Région wallonne et le département 'Nature et Forêt' avaient émis un avis négatif sur le projet. La SA Windvision avait alors déposé un recours chez le ministre.

Info & Source: www:LeVif.be

Environnement - biologie marine.

La population de thon rouge sur le déclin selon les experts.

La consommation grandissante de thon rouge engendre l'épuisement des stocks et les responsables de la gestion des pêches n'arrivent pas à prendre des mesures concrètes pour enrayer le phénomène selon les experts.

Les réserves des trois espèces de thon rouge (pacifique, méditerranéen et atlantique) ont fortement diminué durant les 15 dernières années. Les stocks de Méditerranée et de l'Atlantique ont chuté de 60% entre 1997 et 2007 à cause de la pêche intensive et parfois illégale ; et bien que des améliorations aient été constatées récemment, l'avenir de l'espèce reste fragile selon les scientifiques. D'après une évaluation de réserves publiées l'année dernière par l'ISC (International Scientific Committee for Tuna and Tuna-like Species in the North Pacific Ocean), la population de thon rouge se trouve à moins de 4% de la limite d'interdiction de pêche.

80% du thon rouge péché dans le monde est consommé par les japonais. Lors de la première vente aux enchères de 2014 au marché de Tsukiji à Tokyo le 5 janvier dernier, 1 729 thons ont été vendus contre 2 419 en 2013. Le kilogramme a seulement atteint 32.000 yen pour le meilleur poisson contre 700.000 l'année dernière.

Sources & Infos:bulletins-electronique.com - BE Japon675

Le projet éolien remis sur la table.

Les Quévytois donneront une nouvelle 

fois leur avis sur le projet éolien.

Alors que l’on croyait le projet éolien de la plaine d’Aulnois à Quévy tué dans l’œuf, une nouvelle enquête publique pourrait revenir distribuer les cartes. Alors que la Région wallonne avait donné son accord à Eneco Wind pour l’implantation de quatre éoliennes à Blaregnies, en novembre dernier, le conseil d’état avait tout bonnement annulé la décision.

Plusieurs arguments avaient motivé la décision. Il faut écrire qu’à l’heure actuelle, Quévy compte déjà neuf éoliennes sur son entité. Le fait que celles-ci seraient situées sur le site de la bataille de Malplaquet a également joué un rôle important.

Mais l’argument qui a eu le plus d’effet est sans aucun doute la nuisance sonore. Aujourd’hui, le projet est relancé, et les citoyens sont une nouvelle fois invités à donner leurs avis. Dès le 16 janvier, une enquête publique sera lancée. Le projet est identique au précédent : quatre éoliennes implantées sur le site de la bataille de Malplaquet.

Une différence est mise en avant. La société chargée du projet a revu ses mats afin de les mettre aux normes. Ainsi, les normes acoustiques, 40 décibels, seront respectées. L’argument de la nuisance sonore ne sera donc plus accepté.

Eneco Wind avait déposé en octobre 2010 un premier dossier de demande de permis unique pour la construction et l’exploitation d’un parc de 4 éoliennes et d’une cabine de tête. Il avait rapidement été déclaré incomplet par la région wallonne.

Le département Nature et Forêt avait demandé entre autres un complément de relevés des espèces d’oiseaux et de chauves-souris présentes sur le site. Aujourd’hui après de multiples étapes et adaptations, le projet a plus de chance de se concrétiser.

Une étape reste encore à être franchie : celle de l’enquête publique. Chaque habitant est donc invité à émettre ses observations à sa commune à partir du 16 janvier. Une chose est certaine, le projet éolien risque encore de faire du bruit.

Source & Infos: La DH.be

Chewbacca publie des photos inédites des coulisses de Star Wars sur Twitter.

L'acteur Peter Mayhem, qu'on connaît 

mieux sous le nom de Chewbacca, 

l'étrange et gigantesque bête poilue qu'il 

interprète dans Star Wars, a publié une 

série de photos des coulisses de la 

célèbre saga datant de la fin des années 

70 (Nostalgie !!!)

L'acteur se fend chaque fois d'un petit commentaire, pour le plus grand plaisir des fans.

Dans le premier tweet de la série, il explique qu'il s'apprête à délivrer une série de photographies d'archive sous le coup de la "nostalgie",en commençant par une image sur laquelle on le voit - à gauche - aux côtés d'Harrison Ford, Anthony Daniels (le droïde C-3PO) et Carrie Fisher (la princesse Leia).Info & source: rtbf.be info

Miss Belgique,le rêve de Camille Roger de Quévy, a pris fin samedi.

Miss Belgique.

 le rêve de Camille Roger de Quévy a pris fin samedi.

Camille Roger, 20 ans, de Quévy, était la seule représente de notre arrondissement au concours Miss Belgique qui s’est déroulé samedi soir. Elle a malheureusement été éliminée au premier tour.

Samedi soir, Laurence Langen, 19 ans, de Genk, dans le Limbourg, a décroché la couronne très convoitée de Miss Belgique 2014. Face à elle, 23 autres candidates dont une finaliste de notre province, Camille Roger, 20 ans, de Quévy, qui était première dauphine de Miss Hainaut.

La jeune femme espérait faire tout le show et terminer parmi les 6 dernières filles en lice. Elle a, malheureusement, été éliminée au premier tour, avec 5 autres candidates. «Je n’en retiens que du positif. J’ai fait plein de rencontres et ce fut une magnifique aventure», a-t-elle confié.

Depuis son retour de Tunisie où elle a effectué le voyage préparatoire avec les autres finalistes, en octobre dernier, elle a poursuivi ses études en première année de soins esthétiques, à Mons. Elle est toujours avec son petit ami, Maxime, avec qui elle est en couple depuis maintenant 4 ans. Elle avait également les encouragements permanents de sa famille. Sa maman est mère au foyer, son papa est gérant de magasin et elle a un petit frère, Romain ainsi qu’une sœur, Valentine.

Quant au retour à la réalité, elle ne semblait pas le craindre. «C’est un bon souvenir. J’y penserai souvent et j’en parlerai aussi souvent à mon avis», conclut-elle. Avec sa jolie silhouette, elle pourra aussi toujours poursuivre sa carrière de mannequins. Elle a déjà posé pour le magazine Flair ainsi que pour des coiffeurs. Elle a l’habitude des essayages et aime tant le maquillage que la coiffure. Elle pourrait donc persévérer dans cette voie…

Source & Info: www.LaProvince.be

Miss Belgique: Avec Camille Roger de Quévy.

Miss Belgique samedi soir: Camille Roger de Quévy vise le top 6.

L’élection de Miss Belgique 2014 approche à grands pas. Ana Caliskan, 21 ans, de dampremy, et Camille Roger, 20 ans, de Quévy, sont les représentantes hennuyères du concours. Elles sont actuellement à La Panne, avec les autres finalistes, pour préparer le show prévu samedi soir.

C’est la dernière ligne droite pour les 24 finalistes de l’élection 2014 de Miss Belgique puisque la grande finale aura lieu samedi soir, en direct de La Panne. Le show sera diffusé sur AB3, dès 20h30. Pour l’heure, les finalistes ont pris le chemin de la côte où elles vont enchaîner, jusqu’à samedi, répétitions, essayages, rencontres avec le jury et activités de groupe. Le stress monte progressivement.

«  Personnellement, je ne ressens pas encore trop de pression  », explique Camille Roger, 20 ans, de Quévy. «  Ce qui me stresse le plus, ce sera je pense le moment de la délibération puis de la proclamation. J’aimerais être dans le Top 6  », précise celle qui fut première dauphine de Miss Hainaut. De son côté, elle ne craint pas trop le retour à la réalité. «  Si je ne suis pas élue, je continuerai mes études (NDLR : elle étudie les soins esthétiques)  », conclut-elle.

Ana Caliskan, 21 ans, Ham-sur-Heure, est la dernière Miss Hainaut. Celle-ci ressent une énorme pression pour le soir de la finale. «  Si je rate le coup, ce sera un dur retour à la réalité. Je vise clairement le podium. De plus, le soir de la finale, j’aurai environ 60 proches dans la salle qui viennent me soutenir, dont le président du Sporting. J’espère ne pas être éliminée au premier tour  », explique la jeune fille.

Plus que quelques jours à attendre avant que les deux jolies Hennuyères soient fixées sur leur sort…

Camille Roger

SMS MB 22 au 6665

Quevy
° 28/4/1993
Etudiante Publicité
6ième année Secondaire
Hobbies: Sport, mannequinat

Source & Info: www.LaProvince.be

Fabienne Schaus, chapelière à Genly.

Genly: Rien ne prédestinait Fabienne à devenir chapelière.

Fabienne Schaus, de Genly, est atteinte par le virus de la création de chapeaux. Mettez entre ses mains du feutre ou un tissage de paille: elle vous le transformera en petite œuvre d’art qui magnifiera votre personnalité. Ses chapeaux, c’est à son domicile de Genly qu’elle les crée, qu’elle les expose et qu’elle les loue. Pourtant, rien ne prédestinait cette dame à devenir un jour chapelière!

Rien ne prédestinait Fabienne à devenir un jour créatrice de chapeaux. «J’avais 44 ans, le deuxième de mes trois garçons entrait en première année de secondaire: j’ai alors décidé de prendre une pause-carrière à l’école de promotion sociale de Frameries où j’enseigne l’anglais selon diverses formules», confie-t-elle.

Fabienne Schaus est coquette. Rien dans sa tenue vestimentaire n’est laissé au hasard. «Je créais juste des bijoux. Et par hasard, en début de pause-carrière, j’ai appris que la Fédération Wallonie-Bruxelles organisait à Binche des cours de confection de chapeaux de folklore. J’ai suivi les deux premières années, mais je n’ai pas achevé le module axé sur le perlage. Entre-temps, j’ai rencontré Michèle Orban, qui a travaillé pour les plus grands créateurs. J’ai suivi deux années de cours chez elle...»

Ce sont les chapeaux les plus extravagants qu’elle propose à la location, à l’occasion de mariages entre autres cérémonies. Combien de temps Fabienne passe-t-elle sur une création? «Impossible à dire. Je suis capable d’y passer des heures, comme de laisser une création sur le côté, le temps de réaliser entre-temps un bandeau, un serre-tête ou une casquette.»

Le résultat s’admire à son domicile. «J’ai sacrifié une pièce de mon habitation, où j’ai mon atelier et ma salle d’expo personnelle. Depuis un an, j’ai ouvert ‘my little boutique’, un endroit dans lequel je propose aussi mes bijoux, en émail et en métal. Je participe à des marchés de Noël, à des salons créatifs à Bruxelles, Thieusies, Frameries… Je propose des séances de démo à domicile, et j’organise des stages créatifs. Tout cela à la demande.»

Plus d’infos sur www.fabienne-s.com.

Source & Infos: www.laprovince.be

Cinq licenciements à l'ALE de Quévy.

Cinq licenciements à l'ALE de Quévy: la FGTB dénonce le manque de concertation.

Mi-décembre, cinq personnes du service nettoyage de l’ALE de Quévy, qui occupe 53 salariés, ont perdu leur emploi pour « raisons économiques ». Une situation que dénonce la FGTB.

Ce lundi, le syndicat a adressé un recommandé au président de l’Agence locale pour l’emploi afin de dénoncer l’absence de toute concertation dans ce dossier. « A ce jour, et malgré une situation financière dite alarmante, il n’y a toujours pas de budget prévisionnel pour l’année 2014 », souligne Constant Karamanis, de la centrale générale FGTB.

Pour Ronald Wauquier, président de l’ALE, la situation économiquement difficile que vivent aujourd’hui de nombreuses sociétés de titres-services a amené la direction à devoir licencier cinq personnes, « en accord avec le comité de gestion. » Le président ajoute : « Nous voulions supprimer les chèques-repas, ce qui aurait permis de réaliser 72.000 euros d’économies, mais la FGTB n’a pas voulu… De plus, le syndicat n’a fait aucune proposition afin de réaliser des économies. » Une réunion était pourtant programmée le lundi 23 décembre entre la FGTB et la direction de l’ALE, mais celle-ci a dû être annulée en raison d’un problème de santé du président.

Source & Infos: www.laprovince.be