lundi 13 janvier 2014

Miss Belgique,le rêve de Camille Roger de Quévy, a pris fin samedi.

Miss Belgique.

 le rêve de Camille Roger de Quévy a pris fin samedi.

Camille Roger, 20 ans, de Quévy, était la seule représente de notre arrondissement au concours Miss Belgique qui s’est déroulé samedi soir. Elle a malheureusement été éliminée au premier tour.
Samedi soir, Laurence Langen, 19 ans, de Genk, dans le Limbourg, a décroché la couronne très convoitée de Miss Belgique 2014. Face à elle, 23 autres candidates dont une finaliste de notre province, Camille Roger, 20 ans, de Quévy, qui était première dauphine de Miss Hainaut.
La jeune femme espérait faire tout le show et terminer parmi les 6 dernières filles en lice. Elle a, malheureusement, été éliminée au premier tour, avec 5 autres candidates. «Je n’en retiens que du positif. J’ai fait plein de rencontres et ce fut une magnifique aventure», a-t-elle confié.
Depuis son retour de Tunisie où elle a effectué le voyage préparatoire avec les autres finalistes, en octobre dernier, elle a poursuivi ses études en première année de soins esthétiques, à Mons. Elle est toujours avec son petit ami, Maxime, avec qui elle est en couple depuis maintenant 4 ans. Elle avait également les encouragements permanents de sa famille. Sa maman est mère au foyer, son papa est gérant de magasin et elle a un petit frère, Romain ainsi qu’une sœur, Valentine.
Quant au retour à la réalité, elle ne semblait pas le craindre. «C’est un bon souvenir. J’y penserai souvent et j’en parlerai aussi souvent à mon avis», conclut-elle. Avec sa jolie silhouette, elle pourra aussi toujours poursuivre sa carrière de mannequins. Elle a déjà posé pour le magazine Flair ainsi que pour des coiffeurs. Elle a l’habitude des essayages et aime tant le maquillage que la coiffure. Elle pourrait donc persévérer dans cette voie…

Source & Info: www.LaProvince.be

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Le pétrole russe coule à flots

  Le pétrole russe coule à flots. Aberration et hypocrisie. La Russie est sous sanctions. On ne compte plus les vagues. Et pourtant, le pétr...